Vous savez, vous le vivez, vous en faîtes l'expérience. Nous n'avons pas de campagne de test face à la pandémie en France. Pourquoi ? > Si le dépistage est l’un des angles morts de la lutte française contre l’épidémie, il y a aussi un autre angle mort à l’intérieur de celui-ci : la pénurie des réactifs, ces composants chimiques essentiels au dépistage, qui attestent la présence du virus. Monde-diplomatique 2020/04/RAVELLI/61624 Ce problème actuel est révélateur du fondement d'un problème bien connu dans certains champs et par certaines communautés (Matériel libre et open source 'Open Hardware', Logiciel libre 'FLOSS', publication et données scientifique et publique libres et ouvertes). Ces enjeux de transparences, d'ouverture et de libertés, et de gouvernance de ressources et des licences, sont aussi hautement prégnants pour le matériel chimique et biologique. Cela dépasse largement les considérations des tests de dépistage sur le coronavirus. 40 millions de personnes dans le monde vivent avec le diabète de type 1, l'insuline « propriétaire » est vendue très chère. L'insuline libre est à la peine. > T1International estime que les Américains dépensent actuellement en moyenne plus de 500$ par mois (410€) pour traiter le diabète. Au Brésil ou en Inde, les coûts peuvent représenter jusqu’à 80% du revenu mensuel d’une personne diabétique - Makery "open insuline" 2018 On pourrait également regarder du côté des biomarqueurs utilisable pour révéler les OGM… La liste des points d'action est immense. Il est grand temps, qu'en France et ailleurs, nous mobilisions, comme nous pu et su le faire dans les domaines précédemment cités, et nous nous mettions en configuration sociale pour produire et encadrer du *wetware* libre et ouvert, libérer ceux nécessaires. de l e faire avec les communautés déjà mobilisées précédemment.
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